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L’incendie était en contrôle

Homme vêtu d'une chemise grise debout derrière un lutrin.

1. Jack Bowers a choisi de ne pas laisser sa maison et sa compagnie.

Jack Bowers se souvient très bien de l’incendie de 1998. Lui, ainsi que
les 7 000 autres, qui avaient reçu l’ordre d’évacuation.  Jack et son locataire, Ian McTavish, sont restés malgré l’avis de la GRC.

« Je me souviens de ce sentiment d’impuissance. En tant que propriétaire du Salon funéraire Bowers, je suis habitué à être appelé lors de catastrophes. Mon personnel et moi-même aidons les familles en deuil à s’organiser malgré le chaos. En 1998, j’ai réalisé que j’étais impuissant.

L’incendie était en contrôle. »

Incendie faisant rage la nuit. Bâtiments éclairés au premier plan.

2. L’incendie était en contrôle le 5 août.

Jack Bowers
Bowers Funeral Services

« Des témoins… ont décrit une scène horrible où des morceaux de débris brûlants, parfois aussi gros que des balles de baseball, tombaient du ciel. Comme ils tombaient sur les structures, les véhicules ou autres objets inflammables, des incendies ont éclaté partout dans la vallée. Ceux qui n’avaient pas encore quitté la vallée ont décrit des scènes de panique. Malgré la présence des services d’incendie locaux, les pompiers du Service des forêts, de la GRC, des bénévoles de Recherche et sauvetage, rien ne pouvait empêcher les maisons et les granges de s’enflammer. »

Public Report/rapport public 39: Silver Creek Fire Review, page 12.
Ombudsman, British Columbia/l’ombudsman de la Colombie-Britannique

Crédit photos :
1. Bowers Funeral Services, vers 2016
2. Gordon Pelletier,  vers 1998