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Des débuts difficiles

« Au début, il n’y avait que cinq à six personnes aux réunions. Parfois, nous nous demandions si nous faisions une bonne chose, mais nous avons fini par tirer une grande fierté de nos réalisations.  »

Dennis McIvor, officier (retraité), sauvetage et sécurité


Dennis McIvor, sur le parterre d’une maison blanche et bleue portant l’uniforme original numéro un de la garde d’honneur, avec cravate rentrée dans sa chemise

Dennis McIvor, fondateur de la garde d’honneur, en uniforme

Au cours de ses premières années d’existence, la garde d’honneur a dû relever bien des défis. Grâce à des bénévoles dévoués, ce projet a vu le jour malgré les embûches. Les gardes voulaient, d’abord et avant tout, rendre hommage à leurs collègues avec respect et distinction.

Au début, les membres de la garde d’honneur pouvaient difficilement prendre congé pour vaquer à leurs occupations. Ils sortaient rarement de l’Alberta en raison de la bureaucratie. Des questions d’assurance, d’argent et de véhicules les empêchaient souvent d’aller à des funérailles à l’extérieur de la province. Les membres de la garde ne pouvaient donc pas rendre hommage à leurs homologues.

Huit membres de la garde d’honneur avec d’anciens maires, en habit, devant un camion de pompier d’époque et l’hôtel de ville en grès

Garde d’honneur avec les anciens maires Ralph Klein et Grant MacEwan.