TRANSCRIPTION
Au réfectoire, le matin, c'était en silence, c'est sûr. Et, aux autres repas, on commençait le repas en silence. Ensuite, on nous donnait permission de parler. Et, à la fin du repas, on nous remettait en silence pour terminer la vaisselle. Il y avait le bénédicité, si je me souviens, les grâces, tant que ça était pas fait, pis que le signal avait pas été donné, on pouvait pas parler. On avait hâte de parler. On avait tellement de restrictions que quand on nous donnait la permission, on en profitait.
Hélène Bourassa
Étudiante au CMI de 1958 à 1962